EL MONO VERDE |
MARCEL COSTE - UNE BABEL FRANCO-FOLKLORIQUE Les constructeurs de la Tour de Babel, qui voulaient la rendre toujours plus haute pour toucher au ciel, furent frappés par la malédiction divine. Le Seigneur dit : "Mettons du désordre dans leur langage et empêchons-les de se comprendre les uns les autres". Cette évocation biblique me vient à l'esprit alors que je suis en train d'établir mon itinéraire pour un tour de France touristique que je me promets de faire prochainement. Je m'épuise sur les quatorze guides régionaux rédigés dans les quatorze "langues" minoritaires trop longtemps dédaignées. Heureusement il y a une traduction en anglais pour les touristes étrangers, ou éventuellement français qui n'auraient pas eu la sagesse d'apprendre ces langues ou dialectes du terroir. Mais, il faut en convenir, nous saurons dans ces quatorze langages différents dialoguer avec l'écolo-linguiste local et connaître enfin dans chaque idiome le vocabulaire indispensable au citoyen de base pluricultureux et polyglotte passéiste. A savoir les vocables précis (avec prononciation approximative) intéressant la vie de nos provinces profondes. Pour prendre un exemple, vous aurez à votre disposition une bonne dizaine de mots pour parler de la charrue, du tarare, de la houe et de la binette... et, éventuellement, savoir les transcrire. Muni de ce viatique linguistique vous étonnerez, à votre grande satisfaction, l'ancien paysan nonagénaire, mais pas encore tout à fait gâteux, qui végète sur l'unique banc de la place de l'église. Ainsi vous vous sentirez plus poitevin, plus catalan, plus alsacien, plus corse, plus picard, plus provençal, plus basque, plus auvergnat, plus savoyard, plus gascon... que français. Bien que vous ayez conservé prudemment votre carte d'identité périmée, vous jouirez d'une pseudo double nationalité très enrichissante. Vous serez ainsi encouragé à apprendre à danser (en sandales, en espadrilles ou en sabots) la farandole, la sardane ou la bourrée au son rythmiquement aigrelet des néo-cornemuseux, des néo-vielleux, des néo-bombardeux, des néo-harpistes celtiques, des néo-tambourinaïres et sous-fifreux. On vous conseillera aussi l'apprentissage de l'argot parisien pour mieux comprendre les "franciliens" regroupés massivement à Paname. Des esprits éclairés, mais chagrins, faisant fi de ce patrimoine linguistique, font remarquer que notre langue nationale déjà rongée par les anglicismes deviendra une langue-croupion, une sorte de français "basic", lequel sera pourtant beaucoup plus assimilable par les générations analphabétiquement montantes. Quelques personnalités élitistes et archaïques oseront conserver pieusement un français littéraire comme le fut longtemps le latin en Europe dans les siècles passés. Dénonçant l'esprit "jacobin" de notre Constitution qui affirme délibérément que "la langue de la République Française est le français", le menu peuple opprimé de nos campagnes en friches veut imposer ses bredouillements obsolètes. Et pourquoi donc en plus de nos "langues" minoritaires ne pas accepter quelques parlers des communautés implantées en notre pays comme le turc, le yiddish, l'arabe, l'arménien, le serbo-croate... ? Et puis pourquoi avoir honteusement oublié le patois de mon village grâce auquel je balbutiais mes premiers jurons ? Au fait, disons-le tout net, pourquoi tous ces apports linguistiques alors qu'on n'a pas encore su traduire le mot "folklore" en français ? le 25 juin 99 Cher collègue, Cependant l'éloquence et les effets de manches m'ont semblé prendre le pas sur la rigueur. Cedant arma togae, certes, mais rationi cedat orator - car vous savez le latin, sans doute ? Tout adversaire mal intentionné (voyez la perfidie...) pourrait à son tour atrouduccumuler des exemples de comportements non moins intolérables eu égard au respect des biens et des personnes des Bons Citoyens Français de Souche (Braves Cons Fainéants Syphilitiques, puisque c'est ainsi que nous voit parfois "l'étranger" paraît-il. J'en connais même un, de Français (car je connais un vieux réac, indécrottable) qui s'exclamerait : "Mais c'est du cinéma tout ça ! du cinéma !" - en bref, il ne vous croirait pas. Moi je vous crois. Mais il dirait, par exemple, ce facho qui n'est pas moi, qu'il est assurément excessif d'en prendre pour un an ferme pour un abribus démoli, mais que ce jeune homme en était peut-être à son 48ème abribus et à sa troisième agression de chauffeur. Il est fâcheux de procéder par une accumulation de faits tirés de leur contexte. Dirait-il. Tous en choeur après moi : Il est né le divin enfant, A présent je vous relis ; des choses à peine croyables sont fort justement pointées du doigt. Et vous en oubliez (je ne me souviens plus du nom de cette jeune maghrébine victime de coups et d'attouchements dans un commissariat, tendresse quelque peu rugueuse...). (Notule au passage mesquinement rectificative : les vieux profs, après avoir essuyé les plâtres en banlieue, se reposent au bord du bassin d'Arcachon, et seraient absolument incapables de retourner user leurs dernières forces dans des classes où l'insolence est la seule amorce de dialogue qu'on leur propose... Je ne veux plus y aller, je ne veux plus y aller.) Passée cette lâche parenthèse, je reprends ma lecture : comme je dis toujours à mes élèves (vieille antienne) : si vous détournez des milliards, vous êtes un habile surfeur d'internet ; si vous vous appelez Mohammed et que vous volez un frometon à l'étalage, vous prenez un mois ferme en flag - c'est curieux, ils riaient vachement jaune, mes petits maghrébins. Je poursuis : appeler nos délinquants à élaborer eux-mêmes la loi, ce serait très bien, mais quelle révolution dans le petit Landerneau politique... Et puis, cette loi, ce règlement plutôt, s'appliquerait-il seulement à tel groupe de délinquants en voie de repentance, ou à d'autres ? N'y aurait-il donc pas la même loi pour tous ? Faudrait-il convoquer un échantillon représentatif ? Sur quels critères ? Voilà qui serait intéressant à approfondir. Et finalement, les réserves que je me préparais à développer au nom du bon goût, je me les rempoche. Et ce texte, je l'ai diffusé dans le dernier numéro, selon mes très très faibles moyens, si vous me dispensez ce dont je ne doute pas un seul instant de tout droit d'auteur... Il s'agit d'une revue gratuite intitulée "der Grüne Affe", titre allemand exprès pour ferche, "le Singe Vert" (celui qu'on encule et qui fout le sida à toute la planète) (je ne pouvais pas appeler ça "la Revanche de l'Enculé"), que je tire à 215 exemplaires en ciblant mes cibles. J'ai donc joint, en juillet, mes élucubrations aux vôtres, qui sont beaucoup plus cohérentes et percutantes, et qui n'en sont donc pas (voir l'éditeur de l'exergue). J'espère bien entendu que cet article tendancieux et salutaire trouvera un support digne de sa diffusion. J'espère aussi que mon offre microscopique et condescendante n'atteindra pas les territoires de votre susceptibilité, ce dont je serais navré. Croyez à ma sympathie, tout message de vous sera le très bienvenu. Je vous salue très cordialement. CORRESPONDANCE, Suite ...Vous connaissez cher Collègue mes sérieuses réserves quant à vos incontestables constatations. Vous montez fort habilement en épingle certains dysfonctionnement proprement scandaleux de l'Education Nationale (ce gosse qui se fait déshabiller devant toute une classe par exemple) pour condamner en bloc toute l'institution. Je pourrais moi aussi remplir tout un Singe Vert (qui ne demande que ça) de beuglements fascisants, oeuvrant en sens exactement opposé. Ainsi des ascenseurs sans arrêt en panne, ça ne vous ferait rien de constater qu'ils sont détraqués précisément par les petits couillons fils de ceux qui payent les charges, et que si on ne veut pas que les ascenseurs soient détraqués, une bonne paire de baffes pourrait faire faire des économies ? Une tour du Domaine Formanoir a ainsi été privée d'ascenseurs parce qu'on avait pissé sur les câbles. Les infirmes et les asthmatiques n'ont eu qu'à rester chez eux. Il est vrai que les jeunes ont un sens de l'humour qui nous dépasse. Revenons sur cette loi que voudraient voir appliquée les jeunes délinquants : vous êtes sûr qu'elle ne consisterait pas tout simplement en une consommation libre et gratuite d'héroïne avec droit de tournante dans les caves sauf pour ma soeur ? ...Si les élèves (autre chapitre) ont le droit de contester l'école, est-ce que vous croyez qu'il y aura encore un prof pour avoir le droit de l'ouvrir dans son cours ? et un élève présent à ce cours ? Moi je propose carrément la grève totale et illimitée des cours, personne ne s'en apercevrait, et les fils de bourges pourraient travailler tranquillement chez eux. D'ailleurs c'est déjà à peu près ce qui se passe, non ? Ca ne vous est donc jamais venu à l'idée que si dans une manifestation de 150 000 personnes à Gênes il y a des casseurs, il y en aura un forcément dans chaque cours ? Ce sera toujours le facho casseur qui aura la parole, alors ? Comment se fait-il que les établissements difficiles où l'on a appliqué la tolérance zéro se soient mis à obtenir d'un seul coup d'un seul de meilleurs résultats permettant une meilleure insertion ? Je leur ai toujours dit, à mes élèves, que s'ils voulaient travailler, ce n'était pas dans les cours qu'ils pouvaient le faire, mais chez eux, et de préférence par correspondance. La classe doit-elle se transformer en mise en accusation permanente des profs ou de tel ou tel élève qui veut travailler, le pauvre con ? Qui va s'inspirer de Lautréamont ou de Villon pour les appliquer réellement dans les cours ? Faut-il être un voyou ou un enculeur de chiens pour inspirer l'estime ? d'ailleurs je n'ai rien contre, l'écrivain écrit ce qu'il veut - mais est-ce que la littérature c'est un modèle de vie ? Vous croyez ça, vous ? Ca ne sert pas à ça, la littérature, désolé. Hier j'ai assisté à une démonstration de cours de violon que je fais donner à ma fille : est-ce que bientôt de telles manifestations petites-bourgeoises ne vont pas devoir se dérouler sous la protection de quatre cars de CRS pour empêcher qu'on bombarde les jeunes solistes de caillasses par-dessus les murs ? Est-ce que vivre tranquillement est une preuve de connerie ? Où avez-vous vu que les profs expliquent les textes mais en interdisent la lecture ? alors que les élèves ne savent même plus en bas d'une page ce qu'il y avait en haut, à supposer qu'ils aient dépassé les trois premières lignes ? Pourquoi n'avez-vous pas dit que si Descartes n'avait pas eu de précepteurs (il les démolit, ils étaient mauvais, soit, soit) - pour mettre en route sa machine à penser, il n'aurait jamais eu l'idée de les critiquer, il n'aurait pas eu d'idées du tout ? ...Pour passer du biberon au petit pot, et jeter le biberon, ne faut-il pas d'abord être passé par le stade du biberon ? "Jette mon livre", oui, mais après l'avoir lu nom de Dieu ! Où avez-vous vu que les cours se contentaient de transformer les élèves en perroquets ou en copistes ? Les profs sont-ils donc toujours et éternellement pris pour de pauvres cons ? Si ce ne sont pas les mêmes profs qui notent et qui font le cours, mes élèves se sont écriés comme un seul homme qu'alors, l'enseignant serait privé de toute autorité au profit de celui qui noterait ! il faudrait alors ne noter que lorsque tout le monde aurait bien tout compris ? de toute façon quand nous notons nos élèves, nous les surnotons automatiquement ! pour un prof qui fera exprès de saquer, il y en aura cent qui surnoteront ! Et si paraît-il on est coupable de ne pas savoir sa leçon, ça ne vous ferait rien de penser que le prof veut responsabiliser l'élève et non pas le culpabiliser, et qu'il faudrait peut-être que le cher petit ait tout simplement appris sa leçon ? Croyez-vous que nous soyons assez cons et insensibles pour ne pas savoir qu'Untel ne peut pas travailler chez lui ? Ca ne vous ferait rien de ne pas penser l'orientation automatiquement en termes négatifs ? Est-ce qu'un élève qui n'a rien foutu de l'année doit être orienté de la même façon qu'un élève qui a travaillé ? Avec 2 de moyenne, la même orientation qu'avec 18 ? Il va penser quoi, l'élève qui a eu 18 ? qu'il est un brave mouton castré, alors que l'autre est un révolutionnaire plein d'avenir ? Il suffit donc de contester le système pour devenir un responsable de haut niveau ? de ne rien foutre pour se voir confier un train roulant à 200 km/h ? Je ne sais pas opérer une appendicite et on va me confier une trépanation ? Pourquoi les parents refusent-ils systématiquement les orientations qu'on leur propose ? Faut-il toujours protéger les pauvres petits nélèves victimes des méchants professeurs touche-pipi ? Le goût de l'effort et de la réussite, c'est facho ? Un jardinier, c'est plus con qu'un avocat ? Un charcutier, c'est plus con qu'un prof ? Un balayeur, c'est plus con qu'un journaliste ? On n'interdit pas au futur ramasseur de poubelles de lire Shakespeare, c'est l'élève lui-même qui dit "Ca fait chier, c'est connard, me fais pas gerber avec ton baratin à la con" ! Ce n'est tout de même pas nous qui les détournons de la culture ! c'est eux qui n'en voient pas l'intérêt et voilà tout ! Bien sûr que j'ai réussi à intéresser des élèves à Horace de Corneille en leur parlant du fascisme, bien sûr que j'ai toujours rapproché le plus possible les textes étudiés de leur réalité à eux, mais est-ce que c'est ça qui va leur faire écrire des raisonnements corrects? Est-ce que je vais donner des 18 à tout le monde, alors qu'il y a des illettrés dans la classe ? J'en ai un qui a eu le bac il était du niveau sixième ! De qui se fout-on ? Il va la voir tiens plus tard son orientation à coups de pied dans le cul direction ANPE, et en gueulant à l'injustice en plus ! Il s'agit toujours non pas dans ces discours de responsabiliser les élèves, mais de les infantiliser en leur faisant croire sans cesse qu'ils sont des victimes et que c'est toujours la faute du sale con de prof, qui note à la tête (de bicot, non ?) du client... Bien entendu que c'est à nous de décider du sort de nos élèves ! c'est nous qui les connaissons le mieux ! si on écoutait les familles, ils entreraient tous à Polytechnique ou en Hypokhâgne avec 3 de moyenne ! Ou alors, qu'ils se notent eux-mêmes, puisqu'il paraît qu'il faut les "responsabiliser" ! Total ils se font passer en terminale avec 5 de moyenne et ils s'étonnent de se ramasser ! Même pas d'ailleurs, on le leur donne, le bac, voir plus haut. "Guérir de l'école" mais ça ne va pas non ? C'est de l'ignorance qu'on ne guérit pas, et moins ils en savent les gens plus ils se croient permis de donner des leçons, écoutez-les ces connards qui n'ont jamais voulu se renseigner sur quoi que ce soit donner leur avis sur les pédés et les arabes, vous allez voir ce que c'est instructif. Moins on est allé à l'école, plus on vote pour le Front National ! Même s'il y a deux trois agrégés au FN, les études ne guérissent pas de la connerie mais elles contribuent à la diminuer quoi qu'on en dise nom d'une pipe sans capote ! "Laissez dire les sots, le savoir a son prix" Nous sommes des milliers à faire correctement notre boulot, sans foutre les gosses à poil devant tout le monde, sans les saquer, en recueillant leurs confidences, en les aimant, en les orientant parfaitement de la façon la plus positive possible, quant aux fouteurs de merde irrécupérables qu'on les mette entre les mains d'éducateurs spécialisés, il n'y aura d'ailleurs bientôt plus que ça, mais qu'on arrête de nous faire passer pour des démolisseurs de la jeunesse. Rassurez-vous : en 2015, il n'y aura plus de sales profs, les riches pourront s'instruire par Internet, les autres se battront à coups de battes de base-ball pour savoir à qui vendra le plus de came à l'autre et la police tirera dans le tas, chacun sera enfin libre de choisir l'entreprise ou la secte de son choix, et on sera enfin délivré de ce fléau intolérable qui a sodomisé des millions de jeunes pendant des siècles, l'école. Alias, la Civilisation bonhomme. Moi je m'en fous j'aurai 76 ans, après moi le Déluge. Eh bien on s'est laissé emporter il me semble. Proposez quelque chose SVP, par exemple un manuel de ce que le prof doit répondre, du tac au tac, lorsqu'il se fait traiter d'enculé ou cabosser la gueule par un élève. Ca ce sera utile. Au lieu de tous nous faire passer pour des connards sadiques. Vive l'école. Vive la démocratie. Vive la culture. A bas la dictature des fachos et des casseurs, abattez les pitbulls, coffrez les pédophiles. Et bien à vous. FRANCE MUSIQUES Au lieu du petit articulet que je devais pondre, et qui devait tenir tout ce Singe Vert de Septembre antémanhattanien, je vous fais passer cette lettre : Messieurs, Il m'est désormais à peu près insupportable d'écouter France Musique le matin entre 7 et 9, tant l'indigeste bouillie d'informations sur le financement des orchestres et festivals, les mutations de chefs ou les états d'âme et la carrière du troisième triangle du Symphonic of Trifouilly parvenaient régulièrement à me rendre d'humeur morose dès le réveil. L'argent est certes indispensable, mais il est non moins indispensable que chaque musicien aille régulièrement à la selle pour être en bonne santé ; je me demande donc pourquoi vous ne nous entretenez pas des intestins des interprètes, après tout, c'est aussi important que l'argent : "Untel a chié mou aujourd'hui; sûr que son violoncelle va sonner moins viril. "Mme Mauricette Neboukunefoy fait depuis quelques temps de petites crottes bien dures ; nul doute que la qualité de ses pizzicati ne s'en doive considérablement affiner." Mais vous devez mépriser à juste titre ces considérations peu ragoûtantes : ce ne sont pas les élucubrations d'un grossier personnage qui vont vous détourner de votre ligne scato - Entschuldigung : ontologique... Cependant il est un autre inconvénient qui me fait abandonner votre antenne : la disproportion qui existe entre l'intensité du son musical et celle du son vocal. Dès que s'exprime la sainte Parole, le son se met à tonitruer, à hurler ; revient-on (de temps en temps, tout de même) à la musique, ce n'est plus qu'un filet douceâtre. Ce qui fait que j'étais sans cesse à me triturer le bouton du çon, tantôt abasourdi de baratin, tantôt tendant l'oreille à la musique : significatif, ne trouvez-vous pas ? Don't you troove ? J'espère que ces quelques joyeuses fantaisies feront délicieusement ricaner dans vos services, et vous prie de croire, chère Corbeille Apap - yeah ! en mes sentiments sinon les plus distingués, du moins les plus déploratifs. Quant à mon réveil, je me le fais maintenant à la variétoche...Dommage... P.S. ad usum lectoris : Il existe à présent sur ma télé la chaîne auditive "Hector", là vous entendez de la musique super, 24 H / 24. PPS. D'ici à ce que France-Culture prenne également un "s", et qu'il nous soi assené des morceaux de rap, et des borborygmes racistes tant qu'on y est, sous prétexte que le nazisme, c'est aussi une forme de culture... Putain consultez vos dictionnaires, les cons cepteurs ! Allez ciao, bye, auf Wiedersehen, adios, et toutes ces sortes de choses... |