L'HOMME SINCERE

L'IGNOBLE ET IMPITOYABLE EMPRISE DE LA FEMME SUR LES LIBRES ASPIRATIONS DE L'HOMME SINCERE
- FICTION LITTERAIRE-

La femme est directement responsable de la frustration masculine, engendrant j'ose le dire non seulement la masturbation ce qui n'est pas si grave mais aussi la prostitution, l'homosexualité, le viol, la pédophilie, la guerre et l'ensemble de toutes les souffrances humaines.

Ainsi parlait le Salopard. il disait :

Premièrement, la masturbation. Mauvais début dans la vie que la masturbation. Le garçon y voit la plus forte honte dont il est entaché. Il espère bientôt, le plus tôt possible, s'en passer, s'en délivrer, tirer enfin son coup dans un vagin de forte taille qui ne lui fait pas peur du tout contrairement a ce qu'affirment des armées «imbéciles (Freud, u.v.a. "und viele anderen").

Il disait, le Connard, que les garçons ne brûlaient que d'en découdre avec l'autre sexe, que Jamais l'agression par une fille ne serait considérée par lui comme une agression, mais comme une initiation ardemment désirée, qui lui apporterait enfin sa Confirmation, sa Virilité, et que jamais, jamais il ne mépriserait, ne concevrait même le moindre soupçon de mépris envers l'être surnaturellement généreux qui s'offrirait à lui

Hélas, répondrons--nous, la tradition culturelle du corps de garde constitue la condition sine qua non de l'accession au stade d'homme chez les tribus incultes (pléonasme) de jeunes garçons.

Tandis que la Jeune Fille, disait le Connard, choisit librement de se masturber, y voyant même un stade indispensable à l'affirmation de sa personnalité et un gage de maturité puisqu'elle ne se précipite pas ce faisant sur le premier crétin venu. Elle sait pourtant qu'elle n'aurait qu'à se baisser - c'est amusant, disait cet être plein d'abjection - pour choisir à son tour son initiation. C'en est même au point que dans les romans (car ce connard croyait que les romans sont l'expression de la vérité et de la démonstration), que dans la réalité même de leurs confidences à toutes (car il faut bien à défaut des romans croire ce que disent les jeunes filles en fleurs elles-mêmes), ces Demoiselles en étaient à se demander, le jour où elles avaient enfin décidé de se livrer, pleines d'inquiétude, au dépucelage, avec QUI elles le perdraient.

Il y avait toujours l'embarras du choix, ou du moins le choix entre plusieurs, même s'ils ne s'y attendaient pas d'ailleurs, car elles étaient persuadées qu'il accepterait, quel qu'il fût, tant leur corps et leur mignonne petite chose rose était considérée par elles mêmes comme le trésor le plus enviable. Il fallait donc choisir celui qui serait le plus aimable, le plus doux et le moins méprisant.

Soit. Pour le garçon, en revanche, il n'y a le choix qu'entre rien et rien du tout. C'est le poignet, ou le poignet, ou la branlette. Vaste éventail de propositions en effet. Heureusement, il y a les putes. Il ne reste que les putes. Ou la masturbation. Qui déprécie l'homme, j'en suis désolé, dit ce malade, à ses propres yeux. En même temps qu'elle comble la femme, qui n'entrevoit rien d'autre. La femme reste froide. Elle décide de l'homme avec qui elle couchera ou ne couchera pas, elle décide du lieu, du moment.

Elle décide le cas échéant de se masturber pendant des années. Pas de problème. Elle a le temps. Elle trouvera toujours quelqu’un. Elle se rendra d'ailleurs facilement compte qu'il n’y a que ça de vrai, l'auto-érotisme : avec l'homme, c'est comme avec le magnétophone - avance recule- stop - éject. Bien entendu, le Connard ne tient absolument pas compte de la difficulté qu'il y a pour la jeune fille de passer à l'acte, il ne sait pas qu'elle risque le mépris, voire le traumatisme, beaucoup plus que la considération ; reportez-vous à votre magazine féminin habituel.

Les pourvoyeuses de putes

On entend dire désormais ici ou là qu'il faudrait absolument prohiber la prostitution, forme moderne de l'esclavage, avilissant la femme (et non pas l'homme ). Cependant bande de cons, poursuivait le Fou dont je parle, comment ferions-nous, nous autres pauvres ères, trop cons pour lever une femme ? (admirez au passage la peu reluisante rhétorique de cet être inférieur). J'ai pratiqué, dit- il, une tentative de strangulation sur une pauvre fille, parce que sa copine baisait dans la pièce à côté avec un soi-disant copain à moi (" ... un soi-disant copain à moi" : quel style !) et que cette fille ne voulait rien savoir de mes privautés ! J'ai exhibé un schlass (dans le langage de cet individu, le "schlass" signifie un couteau à cran d'arrêt) sous le nez des gonzesses ("des gonzesses...") à un bal de Douzillac (Dordogne) ("Dordogne" ... ) jusqu'à ce qu'on m'ait viré avec les soi- disant copains qui m'accompagnaient ou que j'accompagnais...

"Combien", nous dit ce malade, "je* dois remercier les putes ! c'est la seule catégorie de femmes, avec les actrices porno, que je puisse véritablement blairer : tu arrives, tu payes, tu tires un coup et tu t’en vas. Tu t'es fait mépriser, parfois d’ailleurs et pas toujours, mais la chose a été claire. Tandis qu'avec les autres femmes, nous confie ce pauvre déchet, tu n'entends qu'un seul son de cloche : la morale, la morale, la morale et toujours la morale.

"Et puis elles te disent :"Oui-non-oui, nonoui-non, non-oui-non-non, ah ben oui, ah ben peut-être, ah je ne sais pas, et puis non au fait, je préfère rentrer chez moi me branler."

Quel con... Il ne sait pas s'y prendre, vous l'aurez deviné Messieurs-Dames, alors qu’il est si facile, en notre période de Débauauauauche, de tirer son coup - du moment que c'est les femmes qui le disent... Il n'empêche, poursuit notre connard, qu'on ne saurait assez blâmer, que c'est bel et bien la vertu (la branlomanie, ah ah ah ! (NDLA : Notre moraliste se croit fin) - des unes qui retombe sur la prostitution des autres, et que si ces dames voulaient bien un peu plus ouvrir les cuisses et fermer un peu plus leurs gueules (tiens, il n'a pas dit "sauf pour sucer" étonnant, non? dirait Desproges, qui fut bon époux et bon père de famille), il ny aurait plus besoin de putes."

Révoltons-nous au passage au sujet de ce langage indigne, et reconnaissons que ce ne sont pas de telles délicatesses grammaticales qui lui attireront les faveurs de la moindre femme. ...Ce pauvre con d'autre part n'a--t-il donc jamais entendu parler de l'amour ? en tout cas, qu'est-ce qu'il ne sait pas s'y prendre, dis donc ah l'ignoble !

"Je me trouvais un jour (poursuit-il) dans une deux chevaux (rien à voir avec la choucroute, qui est un plat alsacien fort bon, j'aime beaucoup les Alsaciens et tout ce qui se rapporte à eux) (pas de procès surtout, pas de procès! pas de fatwa!) qu'avant &aller faire les vendanges en Grèce, toutes les jeunes Françaises &un certain groupe dont la conductrice me parlait se répétait l'une à l'autre : "Il faudra bien faire attention aux jeunes gens grecs ! il parait qu'ils ont le sang chaud ! " Putain, dit ce personnage mal embouché, qu'est-ce que j'ai gueulé je lui ai dit que c'était incroyable, que toutes les femmes décidément étaient amoureuses de leur propre brantette, et qu'elles préféraient mille fois leurs petites pantoufles sexuelles à n'importe quoi avec un Grec. Ah elle était embarrassée, la gonzesse de la deuch (" ... la gonzesse de la deuch..." - je vous demande un peu) - et elle a fini par reconnaître que certaines d’entre elles affirmaient vouloir pour une fois s'envoyer en l'air -je n'en crus rien : cela ressemblait trop à une de ces fameuses "fausses fenêtres pour la symétrie" de Pascal" (de la culture ?... C'est malheureux d'avoir fait des études et de sortir des conneries pareilles).

De la pédale et de la pelouse

Sans oublier, poursuit notre triste sire, cette femme qui dans un voyage approuvait fort que l'on mît les dames dans une chambre et les hommes dans l'autre, disant :"Le chauffeur, on vous le laisse", tout juste si elle n'ajoutait pas "pouah" -franchement, on se sent aimés... Bref, il ne reste plus qu'à se faire pédé. Et inutile d'espérer le moindre mouvement de compassion de la part des femmes. Vous pensez, pour elles, s'envoyer en l'air avec une copine est une chose qui ne pose absolument aucun problème, dit notre pauvre type. Comme disait ma psy (vous voyez bien que ce crétin n'est pas un homme normal) "Réalisez donc vos fantasmes homosexuels !" - j'aurais dû lui répondre, je crois d'ailleurs l'avoir fait, que pour un homme, désolé, ce n'était pas du tout la même chose, c'était beaucoup, beaucoup plus grave.

C'est pourquoi le style dAngot dans "L'inceste" me plait, mais je n’achèterai jamais le bouquin, parce que franchement faire toute cette histoire parce qu’on est embringué dans une passion lesbienne, ah là, là ! quelle catastrophe ! mais c'est une vétille, ce truc-là ma pauvre dame, pas de quoi en faire une omelette !

Mais enfin espèce de con, puisque c'est une femme elle-même qui l'écrit et qui s'angoisse, tu pourrais l'écouter au lieu de te complaire dans tes petites mesquineries odieuses... Et puis c'est l'enfer de la passion, qui est décrit dans cet ouvrage, et non pas exclusivement lesbianisme !

Bref, poursuit notre personnage, avec qui nous nous empressons proclamer que nous n'avons pas le moindre atome en commun, si j'ai abandonné l'idée de passer à l'acte en ce qui concerne l'homosexualité masculine, c'est depuis que j'ai entendu une femme de militaire s'exclamer qiiau moins c'était tant mieux, que ceux -là ne "les" emmerderaient pas. Il faut bien vous faire à l'idée, Messieurs, que vos assiduités sont très mal prises par les femmes.

Que l'état normal, pour les dames de bonne compagnie, c'est l'absence de sexualité (qu'elles disent : en fait, ajoute notre triste individu, la branlette effrénée). Que les hommes sont des névropathes, eux qui veulent "faire l'amour", et baignent dans la pathologie obsessionnelle. Que s'ils deviennent pédés, eh bien tant mieux, ils n'auront pas une once de sympathie, de compassion. Elles ne chercheront pas à les guérir ("Madame, je ne suis pas malade !" s'exclame un personnage des "Zèbres" de Jean-Louis Bory - certes, certes ; il y a aussi un bon nombre de pédés qui ne le sont pas devenus uniquement par déception amoureuse, certes... )

Bref, pour les femmes, tolérance - tant mieux : "Ils ont le droit".

L'emmerdant, c'est quand elles affirment que ça les soulage. or moi, considérant l'homosexualité l'épanouissement de soi, je m’y adonnerai. Pour l'instant, plus jamais ça. On le sait, que les hommes sont dont on se demande pourquoi il écrit tout ça et où il veut en venir, comme un échec, je ne deviens pas pédé "pour faire plaisir aux gonzesses". Quand je serai capable, et je ne le serai plus jamais à présent vu âge, de considérer l'homosexualité comme un moyen aussi légitime qu'un autre d'obtenir nuls. Et que les femmes préfèrent "entre elles" ou seules. Dans la perspective du connard, ce qui n’est pas confortable pour le lecteur - comment, t’es encore là, toi? - les hommes sont obligés de devenir pédés parce que systématiquement et de toute façon, les femmes les repoussent.

Il est à signaler que désormais, les adeptes de la Toile et du réseau le savent : le moyen le plus efficace de draguer une femme sur l'écran, c'est de se faire passer pour une autre femme ; évidemment, si elles voient ensuite la tronche &un mec, elles sont vachement déçues. Bof ! Une de perdue, dix de retrouvées. Je suis persuadé qu'il y a plus de femmes sur les réseaux de lesbiennes que sur les réseaux hétéros, où les trois quarts des appels émanent de pauvres couillus délaissés.

Viols, pédophilie, guerre

Pour ce qui est du viol, Dieu (qu'est-ce qui lui prend &invoquer Dieu, à ce déchet ?) me préserve de défendre les criminels qui succombent à ce crime. Un violeur n'est pas un homme, il déshonore l'espèce masculine. Je lui crache dessus, je lui chie dessus et je lui broie longuement les testicules entre deux pierres bien rugueuses. Il n'a pas su en effet que la virilité consiste à supporter les dents serrées cet étouffante ignorance de notre propre corps, ce mépris forcené où nous tiennent les femmes.

Le stoïcisme, c'est la force du mâle, du vrai. Savoir qu'on ne peut obtenir la femme qu’en payant (argent comptant, ou manage et soumission). Savoir que la volupté suprême de la femme est de transformer le mec en toutou castré. Que si par un hasard infinitésimal (notre Crétin exagère) un homme réussit à coucher avec une femme, il faudra bien qu'il sache que cette femme voudra l'embringuer dans toutes ses histoires de famille à elle, avec son papa à elle et sa maman à elle et son neveu à elle.

Il devra voir ses films à elle, ses copains à elle et pas les siens, fréquenter son milieu à elle, habiter où elle voudra, écouter ses histoires à elle, s'occuper d'elle, s'occuper d'elle, s'occuper d'elle. Et à la fin quand elle l'aura bien transformé en mouton, c'est lui qui crèvera, et elle qui lui mettra dans la gueule de dix ans de longévité, tout en se faisant plaindre, car c'est le survivant qui est à plaindre ben voyons.

D’ailleurs c'est vachement bien d'être une femme : les guerres, c'est la faute des hommes ; la chasse, c'est la faute des hommes le mauvais gouvernement, c'est la faute des hommes la tauromachie, c'est la faute des hommes ; la baise de travers, c'est la faute des hommes. Putain dit le Taré, je comprends pourquoi il y a tant de mecs qui souhaitent devenir des gonzesses, et si peu de filles qui veulent tourner gonzes.

Jamais responsables de rien et toujours victimes, c'est vachement détendant !

Elles dérapent même franchement dans le grotesque, ou dans l'odieux, mon salopard ne parvient pas à se déterminer : inciter vigoureusement et par voie d'affiche à Berlin les hommes à pisser assis pour ne pas salir la cuvette des toilettes.

... Poursuivre un garçonnet de six ans pour avoir donné un baiser à sa voisine de classe du même âge ; porter plainte pour toute publicité un peu rigolote mettant en scène une femme. Gueuler contre tout érotisme parce que "la femme n'est pas un objet". Appeler toutes les femmes madame " afin qu'on ne prenne pas les "demoiselles" pour un parti possible.

Chaque fois qu'une femme désire un homme, c'est une obligation pour le mâle d’obtempérer.

Attends il y a mieux : il paraît qu'une femme aurait préféré se faire violer par son chef de je ne sais plus quoi, parfaitement, se faire violer, plutôt que de se faire déshabiller du regard comme il le faisait. "Au moins s'il y avait eu viol, cet homme aurait été puni" - on va où, là, dit le Crétin ? Car cette femme a raison, c'est évident. Un homme doit regarder une femme "sans penser à mal", c'est-à-dire au sexe

En allemand, mal "schlecht" sexe "Geschlecht", c'est pas une preuve, ça ?

Si c'est le mâle qui désire, il n'est qu’un affreux macho

La femme drague l'homme ? D'accord, admettons, mais dès que l'homme la prend au mot, la voilà qui se met à gueuler qu'on la prend pour une pute et que ce n’est pas ça qu'elle a voulu dire - quoi, alors ?

A présent, dès que tu adresses la parole à une femme tu risques &être poursuivi pour harcèlement sexuel ; si tu pousses l'inconscience jusqu'à lui faire des propositions, tu risques carrément la plainte pour viol. Avant, dans le temps, ce n'était déjà pas agréable : si tu regardais une femme dans la rue, tu avais toujours l'impression qu'elle se foutait de ta gueule, dans le style : "Tiens, je te fais bander connard ?" Maintenant, c'est carrément, je vous jure on suit les mots sur les lèvres : "Qu’est-ce qu'il a à me regarder comme ça ce con."

Notez, c'est peut-être parce qu'il s'agit d'une jeune femme, je veux dire "parce qu'elle est jeune" : si c'est en effet un jeune homme que tu regardes, il va se mettre aussitôt à cracher ostensiblement par terre, de l'autre côté encore pour l'instant. Eh bien regarde les vieilles ! ça les changera, il paraît qu'après 50 ans les hommes ne regardent plus les femmes - entre parenthèses Mesdames c'est bien fait pour vos gueules, parce que nous, les hommes, on peut toujours attendre d'être regardés... Au cas où l'homme

Dieu quelle horreur! Notre Crétin se surpasse...

Attends, de plus en plus fort comme disait Nicolet : une femme tenez--vous bien a obtenu gain de cause, faisant condamner répondrait, mon pour viol un de ses partenaires qui n'avait pas interrompu le rapport dès qu’elle le lui avait demandé, en pleine action ! Je propose qu'on équipe les deux types &organes sexuels d'un de ces procédés utilisés sur les TGV : si le conducteur n'appuie pas toutes les trente secondes sur un certain signal, le convoi s'arrête automatiquement.

Toutes les trente secondes : "Voulez-vous continuer à faire l'amour ?" OUI - NON. On nage en plein érotisme. Tenez, dit le connard, je vois très bien venir le temps où une femme qui désirera se faire un peu &argent consultera son "carnet de coïts" et se dira : "Tiens, il y a douze ans, j'ai mal joui avec celui-là ; je vais porter plainte pour viol" - et ça marcherait .1 Ca a bien marché pour la Lewinsky, puisqu'elle a soigneusement conservé les vêtements tachés qu'elle portait lors de ses relations avec Clinton, et qu'on ne vienne pas me faire croire que c'est au nom d'un sentimentalisme désuet (je refuse d'employer l'anglo--saxon "obsolète").

Pédophilie

Notre crétin de service ira même plus loin : il se permettra d'insinuer haut et fort que la pédophilie elle aussi, odieuse assurément, il n'en disconvient pas l'hypocrite, se justifie dans la mesure où les femmes par leurs refus répétés (décidément, quel con) incitent certains détraqués à se tourner vers des enfants, qui ne sont pas encore pervertis par le puritanisme forcené des "bonnes femmes". Alors là je dis non. C'est ignoble.

Les femmes qui sont tout amour et qui se donnent bien trop souvent à des connards qui ne leur arrivent pas à la cheville ne sauraient accepter cet argument bas de gamme : elles ne vont tout de même pas se balader les cuisses ouvertes et le vagin écarté par des pinces pour satisfaire aux élucubrations de malades mentaux à lobotomiser ?

Si je vous disais que ce crétin de personnage imaginaire va même jusqu'à se protéger sous les paroles d'une chanson de Souchon ("Les jupes des filles") pour affirmer que ce sont les femmes qui, par leurs refus incessants, provoquent les guerres ? Que si l'on avait mieux tiré son coup au Liban, on ne se serait pas massacrés pendant des années de rue à rue en ville ? Nous savons bien que le sexe et la violence ont partie liée, comme le dit et le répète Notre Saint Père le Pape.

Il est vrai que Wilhelm Reich dit le contraire, mais qui va croire un Autrichien mort fou ?

Travaillons tous pour l'élimination de l'espèce masculine par le biais du clonage avec parthénogénèse. Nous sommes même tellement répugnants qu'il y a désormais un mouvement de lesbiennes qui veulent se reproduire avec du sperme qu'on leur introduit dans les voies génitales sans qu'il soit besoin du rapport sexuel. Vierge et mère, ça rappelle furieusement quelque chose à notre crétin.

Reste à savoir pourquoi le Singe Vert a donné si longtemps la parole à ce Con Majuscule. Il est à mon avis tombé dans le travers qui consiste pour bien des cinéastes à montrer des prostituées pour dénoncer la prostitution, et à exhiber la violence pour lutter contre la violence

OK, OK...

Dernière minute.

Nous apprenons qu'un destinataire de notre glorieuse revue, mécontent de son contenu (et tant mieux), au lieu de se tourner vers le Singe Vert pour qu'on s'explique, se permet de sauter sur le paletot par téléphone (belle métaphore) &un établissement dont le Singe Vert a utilisé un document, à l'insu il est vrai dudit établissement. De tels procédés, s'apparentant au caftage stalinien de ces parents d’élèves qui au lieu de consulter le prof le "dénoncent" à ses Chchchchefs, sont la démonstration même du caractère fouille-corbeille pour ne pas dire plus d’un tel individu, qui ne mérite que notre plus profond mépris.

Si vous avez envie d’engueuler le Singe Vert, c'est au Singe Vert qu’il faut vous adresser, et non pas au fournisseur de papier, ni au fabricant de l'imprimante, ni aux véhicules des postes qui acheminent le courrier, ni... à bon entendeur, salut.